Recherche par lecteur : François de Courcy
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Lu par : François de Courcy
Durée : 10h. 42min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 21137
Résumé:Ils s'appelaient autrefois Wendel, Schneider, Rothschild, plus tard Michelin, Renault, Citroën, Boussac ou Dassault. Aujourd'hui, ils se nomment Ernest-Antoine Seillière, Bernard Arnault, François Pinault, Claude Bébéar ou Jean-Luc Lagardère. Ils étaient, ils sont toujours quelques dizaines de grands patrons, maîtres du pouvoir économique, et bien décidés à peser de tout leur poids sur les destinées de la société française. Depuis que la République s'est installée en France, cette élite patronale n'a jamais cessé d'exercer une influence souvent décisive sur le fonctionnement de la démocratie. C'est à une poignée de grands hommes d'affaires libéraux que l'on doit la stabilisation financière du régime républicain dans les années 1870. C'est grâce à la mobilisation de quelques grands industriels de la métallurgie ou de l'automobile que la France a pu se lancer dans l'effort de guerre en 1914. C'est avec un certain nombre d'entre eux que le régime de Vichy est entré dans la voie de la collaboration et ce sont eux qui se sont lancés dans la bataille de la reconstruction. C'est un peu à cause d'eux que les espérances de la gauche se sont brisées, au moment du Cartel des gauches, du Front populaire, et se sont infléchies après 1981. Ce sont eux qui ont gagné le combat de l'économie de marché. Qui sont ces hommes, qui sont ces maîtres de l'économie, assez puissants pour influencer les princes qui nous gouvernent ? Que valent les mythes qui les accompagnent, depuis le complot des banques juives jusqu'aux nouvelles deux cents familles ? Comment cette oligarchie patronale s'est-elle renouvelée, organisée depuis un siècle ? Qui sont ses alliés, ses confidents, ses serviteurs ? Quelles sont leurs armes pour convaincre, pour protester, pour imposer, et quels sont leurs réseaux d'influence ? Qui ont-ils fréquenté, qui ont-ils financé, qui ont-ils corrompu pour parvenir à leurs fins ? En somme, peut-on vraiment les considérer comme un " cinquième pouvoir " ? Pour répondre à ces questions, Jean Garrigues a remonté le fil de notre histoire contemporaine, depuis les années de fondation de la IIIe République jusqu'à nos jours. Il a épluché les archives et retracé le parcours comme les idées des acteurs de ce grand jeu. Sans a priori mais sans tabou, sans diabolisation mais sans complaisance, voici l'histoire de ces hommes d'influence, qui ont joué un rôle de premier plan dans la vie politique de la France contemporaine.
Lu par : François de Courcy
Durée : 5h. 6min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 23682
Résumé:Sa Majesté l'Empereur de Chine règne en 1521 sur un pays si vaste qu'on en ignore le dessin des frontières ; il est, en toutes circonstances, flanqué de quatre sosies, quatre hommes exactement conformes à lui-même, au visage aussi vérolé, au nez, aux gestes aussi millimétrés. Ils forment la Quinte Souveraine, et la confusion entre eux devient telle que l'on pourrait bien imaginer l'Empereur ne sachant plus s'il est l'original ou la copie de lui-même… Or, un jour de cet hiver 1521, en butin d'une bataille menée contre des soldats birmans, la Quinte souveraine reçoit quatre trophées : un couple de rhinocéros, un éléphant et « une créature muette, noire de la tête aux pieds à l'exception du blanc des yeux, une espèce jamais repérée ». Présage funeste ? Défi céleste ? Ce butin hors normes déclenche mille péripéties rocambolesques, plaçant l'Empire et son plus haut représentant sous l'imminence de la catastrophe. Jouant sur mille récits emboités, Dai Sijie écrit là un conte virtuose de fantaisie et de comique.
Lu par : François de Courcy
Durée : 11h. 5min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 22230
Résumé:" Nous sommes montés dans le train à grande vitesse de la modernité sans trop nous en apercevoir et, lorsque nous regardons par la fenêtre, le paysage défile si vite que nous n'arrivons plus ni à le lire ni à le retenir. J'ai l'impression que nous sommes devenus des spécialistes de l'oubli... " Vingt-sept ans après la publication du Village retrouvé (1979), l'ethnologue Pascal Dibie publie Le Village métamorphosé. C'est de nouveau de Chichery, en Bourgogne, où il réside depuis son enfance, qu'il tire des observations ayant valeur universelle. Un voyage hallucinant, profond, au cœur de notre rurbanité naissante. II nous invite à revisiter notre société qui vit une des plus grandes mutations de son histoire millénaire. S'intéressant à nos actes les plus modestes, à cette banalité qui inscrit les jours de nos vies dans le long calendrier de l'histoire, l'auteur décrit un quotidien où le monde des signes et des aménageurs de paysages est roi, où la voiture, la cybernétique et la consommation sont maîtresses de nos têtes, de nos temps et de notre économie, où la religion s'abstrait jusqu'à accepter le changement des rites funéraires et à nous laisser exclure nos morts, où l'agriculture se " scientifise " à outrance et nos paysages se patrimonialisent... Une antique société se meurt, l'égoïsme de chacun s'affirme et ce qui fut le paysan, l'homme en pays, devenu hautement technicien et déculturé, réussit à s'insérer dans la brume de la mondialisation qui le gagne et le dévore. Cette ethnologie déguisée en récit, où se croisent pensées brutes et carnets de terrain, portraits de maîtres et réflexions profondes, inscrit Le Village métamorphosé parmi les plus grands ouvrages de Terre Humaine.
Lu par : François de Courcy
Durée : 9h. 54min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 21709
Résumé:Née de la révolution de novembre 1918, victime de la prise de pouvoir nationale-socialiste en 1933, la république de Weimar a laissé un souvenir ambigu : d'un côté, un régime fragile, ébranlé de 1919 à 1923 par les insurrections, les tentatives de coup d'Etat, la crise économique et l'occupation alliée, incapable d'enrayer la montée en puissance d'Hitler et de ses partisans ; de l'autre, la première tentative de démocratie allemande, ère sans précédent de liberté politique, de foisonnement intellectuel et de créativité artistique. Dans ce livre, devenu un classique en langue allemande, l'historien Horst Möller nous met en garde contre tout déterminisme. Si ses chances de réussite étaient faibles, la république de Weimar, n'était pas irrémédiablement vouée à l'échec. Héritiers de la défaite et de la révolution, chargés du lourd fardeau du traité de Versailles, ses fondateurs parvinrent à construire un nouvel ordre constitutionnel et offrirent à l'Allemagne quelques brèves années de stabilité. Son échec final ne se comprend que dans le moyen terme de la période 1918-1945, marquée par la contestation et le renversement de la légalité; l'idéologisation et la polarisation de tous les secteurs de la société. Son histoire est une leçon de culture politique, d'une actualité inentamée, sur la possibilité de la démocratie et les dangers qui la guettent. Une leçon qu'ont retenue les bâtisseurs de l'Allemagne moderne et que doivent méditer tous ceux, qui, en Europe, considèrent la démocratie non comme un acquis, mais comme un combat.
Lu par : François de Courcy
Durée : 11h. 25min.
Genre littéraire : Roman historique/biographique
Numéro du livre : 21529
Résumé:Ce ne sont pas, on s'en doute, les époques paisibles et souriantes qui font les bons romans historiques. Or, quelle période de notre histoire fut moins paisible, plus mouvementée, plus sanglante et plus délirante que la Révolution française ? Avec une perspicacité fondée sur une érudition sans faille, Hubert Monteilhet s'en est avisé. Et la passionnante histoire qu'il nous livre, riche en ténébreuses intrigues comme en révélations insolites, en rebondissements tragiques comme en péripéties où le drame tourne soudain à l'irrésistible farce, nous montre qu'il a su tirer pleinement parti des étonnants matériaux romanesques qui s'offraient à lui. A travers les multiples aventures de Lazare de Kervignac, jeune aristocrate de province venu dans le Paris révolutionnaire sous une fausse identité, et agent malgré lui du mystérieux et omniprésent baron de Batz, le plus redoutable et machiavélique des conspirateurs royalistes, nous découvrons les stupéfiantes folies, parfois cocasses mais souvent sanglantes, d'une époque où tous les instincts se déchaînaient ensemble, toutes les utopies les plus démentes se donnaient libre cours, tous les vices s'exerçaient au nom même de la vertu. S'étant introduit dans l'entourage de Saint-Just et s'étant acquis la faveur de celui-ci, le jeune Kervignac se retrouve en même temps au cœur de la conspiration qui aboutira au 9 Thermidor et à la chute de Robespierre, événements dont Monteilhet nous donne une interprétation inédite et d'autant plus fascinante qu'elle est étonnamment plausible.
Grands zhéros de l'histoire de France: ils firent parler d'eux, non pour le meilleur mais pour le pire
Portier-Kaltenbach, Clémentine
Lu par : François de Courcy
Durée : 5h. 24min.
Genre littéraire : Biographie/témoignage
Numéro du livre : 24707
Résumé:Nous apprenons à l'école les grands hommes qui ont fait l'histoire. Clémentine Portier-Kaltenbach nous propose ici de rencontrer les grands z'héros de l'histoire : ceux à l’origine des ratages, de fiascos, les démissionnaires, les responsables des défaites etc.
Lu par : François de Courcy
Durée : 8h. 11min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 23064
Résumé:Ceux qui parlent d’épuisement énergétique oublient le réchauffement climatique et la sombre perspective qu’il représente. Si en effet tout le carbone contenu dans les énergies fossiles accessibles à un coût raisonnable était émis dans l’atmosphère, la hausse des températures serait catastrophique. Pour l’éviter, l’humanité devra laisser sous le sol plus de la moitié des ressources disponibles : contrairement à l’idée reçue, l’énergie fossile est donc surabondante. La réduction des émissions de gaz à effet de serre passe-t-elle nécessairement par un changement radical de notre mode de vie ? Non, répond Henri Prévot. Le nucléaire peut-il être remplacé par d’autres formes d’énergie « sans carbone » ? Non car celles-ci, à part la biomasse, ne représenteront pas plus de 10 % des émissions que nous devrons éviter. Cela coûtera-t-il cher ? Pas trop si l’on va progressivement : dans trente ans, de 1 à 2 % du PIB. La France peut-elle faire quelque chose sans attendre de coordination mondiale ? Oui, et c’est là son intérêt économique et stratégique. Comme on le voit, les réponses d’Henri Prévot sont fortes et originales et le situent hors des camps habituels. Elles sont toujours argumentées et n’éludent aucune des questions que se pose le grand public (l’avenir du nucléaire, la suite du protocole de Kyoto…). Ce livre devrait devenir un ouvrage de référence dans un débat qui ne fera que prendre de l’ampleur.
Lu par : François de Courcy
Durée : 3h. 29min.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 22935
Résumé:Ce spécialiste de l'Asie orientale contemporaine présente dans la collection Que sais-je l'histoire du Viêt-Nam.
Lu par : François de Courcy
Durée : 7h. 28min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 24496
Résumé:L'athéisme en tant qu'il nie l'existence de Dieu ou la divinité de Jésus n'est pas le pire refus de Dieu possible. D'aucuns ont trouvé Dieu et pourtant ne le servent pas, le servent d'autant moins. Ils se perdent dans la mesure même où ils l'ont trouvé. Ceux-là ne sont pas athées, ils reconnaissent tous les articles de la foi catholique et, néanmoins, refusent Dieu de la manière la plus radicale, en connaissance de cause. Ceux-là surpassent l'athéisme et nous découvrent un lieu plus ténébreux, d'autant plus ténébreux qu'il se sert de la lumière pour épaissir ses ténèbres. Tel est le lieu du démoniaque. Il concerne premièrement les démons, sans doute, mais un chrétien ne saurait l'ignorer, car il désigne aussi une possibilité tragiquement sienne, celle d'une perdition qui s'ouvre au coeur même de la chrétienté. Le démoniaque n'est pas tant de vouloir le mal, que de vouloir faire le bien sans obéir à un autre, de vouloir faire le bien par ses seules forces, dans un don qui prétend ne rien recevoir, dans une espèce de générosité qui coïncide avec le plus fin orgueil.